Les 6 RÈGLES du livre « Père riche, père pauvre » de Robert Kiyosaki EXPLIQUÉES. Je vous dis COMMENT je me les suis appropriées.
Robert KIYOSAKI Père Riche Père Pauvre
On va parler aujourd’hui de Robert Kiyosaki «Père Riche, Père Pauvre».
C’est un livre que j’ai lu et qui m’a énormément appris sur l’investissement sur la manière d’être et sur moi-même. J’avoue que beaucoup d’entre vous m’ont demandé de faire une vidéo sur le sujet, sur les principes qu’il enseigne dans le livre « Père Riche Père Pauvre ». Attention, il n’y a pas que ce livre-là. Personnellement, celui-ci je l’ai lu et c’est l’un des premiers livres sur le sujet de l’investissement qui m’a fait réfléchir et qui m’a donné une grande claque. Et après, il y en a eu d’autres. Notamment, L’entreprise du XXIème siècle, que j’ai vraiment beaucoup, beaucoup apprécié.
J’ai décidé de vous faire la vidéo d’une manière un peu particulière, c’est-à-dire que je vais vous énumérer le principe et à côté, je vais vous dire ce que moi, j’ai fait concrètement. Vous allez voir que les six principes que donne Robert Kiyosaki dans le livre, je les ai appliqués.
C’est peut-être ce qui fait la différence entre ceux qui regardent cette vidéo et qui ont lu le livre et qui n’ont toujours pas commencé à investir ou qui ne sont pas libres financièrement. Et de l’autre côté, ceux qui ont lu le livre, qui l’ont appliqué et qui, aujourd’hui, en sont là où ils désiraient être. Ils ont peut-être arrêté de travailler. Ils ont peut-être de gros revenus complémentaires, que sais-je ? En tout cas, c’est peut-être ce qu’il faut retenir de cela et j’y reviendrai à la fin de la vidéo. Alors, je suis sûre que la plupart d’entre vous l’ont déjà lu. Néanmoins, le sujet intéresse beaucoup de monde.
La première leçon de ce livre
c’est de ne pas travailler pour l’argent. L’idée que l’on a, je dirais que c’est dû au système éducatif, c’est qu’il faut aller travailler tous les matins pour gagner son salaire, gagner son argent. Et finalement, on rentre dans ce que lui nomme la « Rat Race », c’est-à-dire que l’on va gagner de l’argent un moment, on va le dépenser puisqu’on va devenir autonome et vu que l’on a tout dépensé, il va falloir regagner de l’argent, vous voyez, pour pouvoir acheter ce que l’on a besoin de dépenser. Alors, ce que l’on a besoin de dépenser, ce sont les dépenses courantes, les dépenses nécessaires, se loger, se nourrir, d’avoir des loisirs, enfin ce genre de choses. Toutes les dépenses que vous avez au quotidien, les taxes aussi bien évidemment. On travaille, on paye. Pour pouvoir continuer de payer et pour pouvoir continuer à vivre, il faut à nouveau travailler pour gagner de l’argent qui lui-même va servir à payer, il faut retravailler, on gagne de l’argent, on paye, etc.
Ce qui fait qu’on se retrouve dans un concept qu’il a nommé la « Rat Race », c’est-à-dire que c’est sans fin. C’est-à-dire que si l’on arrête un des éléments, on ne va plus vivre correctement. En gros, on va perdre notre emploi, on n’a plus de revenus. Si l’on n’a plus de revenus, on ne peut plus acheter. Si on ne peut plus acheter, on ne peut pas avoir un toit, on ne peut plus manger. Donc, les trois éléments s’enchaînent constamment, constamment.
Je vous ai dit que dans cette vidéo j’allais vous donner les principes, les concepts et également vous dire comment moi je les ai appliqués. J’ai commencé, comme beaucoup de mondefinalement, par travailler. Ce n’était pas une mauvaise chose, ce n’était pas la meilleure chose à faire mais en tout cas c’est une bonne chose pour commencer. Puisque travailler, on a une un salaire, on dépense, on a une vie, on a des loisirs, on se crée des amis, des connexions, etc. Donc, ce n’est pas une mauvaise chose. Le problème, c’est que si l’on veut arrêter, ce n’est pas possible.
Alors, moi, l’idée que j’ai trouvé, c’est l’immobilier. Ça n’a pas été miraculeux immédiatement, ce n’est pas dès qu’oncommence à investir dans l’immobilier qu’on arrête de travailler et que tout est beau, tout et rose, non. Ça ne marche pas tout à fait comme ça. Pour que cela fonctionne, ce que j’ai fait c’est que le CDI que j’avais, ou les CDI que j’ai eus parce que j’ai eu plusieurs métiers, je m’en suis servi pour avoir des crédits immobiliers. Les crédits immobiliers ont financé des appartements. Une fois que c’était fait, j’ai mis un locataire dedans et ça me rapportait de l’argent en plus. C’est vrai,qu’au début c’est plus de travail c’est-à-dire qu’en plus de mon job je devais m’occuper au départ de trouver un appartement. Une fois que j’en avais trouvé un, il fallait le rénover. Ensuite, il fallait mettre des annonces, ensuite, il fallait trouver un locataire. Et après, je dirais qu’on récupère le fruit de l’investissement en temps qu’on a mis pour trouver le bien. Je parle de l’investissement en temps parce que l’investissement n’est pas réellement financier.
Pourquoi ?
Parce que l’appartement, le bien immobilier est financé par la banque, c’est tout l’intérêt de faire de l’immobilier.
Donc, j’ai continué à travailler mais beaucoup plus que tout le monde finalement. C’est-à-dire qu’en plus des 45, 50 heures que je faisais par semaine, je cherchais, je rénovais, je mettais des locataires. Donc, c’est un gros travail en plus qui dure plusieurs mois. Ce n’est pas plusieurs mois d’affilée mais c’est du travail en plus. Seulement, une fois que c’est terminé et que le système est en place, je commence à avoir les premiers euros, les premières centaines d’euros en cash-flow qui arrivent dans la poche et c’est assez gratifiant. Ça ne suffit pas tout de suite pour arrêter de travailler mais une fois qu’on a compris ça et qu’on l’a fait une fois, on comprend que les choses fonctionnent. C’est simple, une fois que ça fonctionne, il suffit de dupliquer. Ce n’est pas plus bête que ça.
Je l’ai fait également pour le blog. Le blog c’est beaucoup de travail en parallèle de mon boulot quand je travaillais pour mettre les choses en place, pour informer les gens, pour faire des vidéos. Aujourd’hui, j’ai toujours ce système de vidéo mais les 80 % du gros du travail est déjà en place, et déjà fait. Aujourd’hui, j’alimente le blog et au travers de formations, de coaching, j’ai aussi des revenus complémentaires.
Voilà le premier concept de ce livre, c’est de ne pas travailler pour l’argent.
Et quand je vous dis cela, c’est une fois que les choses sont en place. Donc, vous travaillez beaucoup au départ, plus que les autres, c’est une évidence. Je pense qu’il n’y a personne aujourd’hui qui peut dire qu’il a travaillé moins que les autres au départ pour avoir des revenus passifs. Sauf, si c’est un héritage où on hérite de tout ça. Mais, à partir du moment où on va se constituer un patrimoine, il va falloir y aller les soirs, les week-ends et pendant les vacances. Pas tout le temps mais en tout cas, il va falloir intégrer ça dès le début. Si vous n’êtes pas prêts à travailler plus au départ, laissez tomber, vous pouvez même couper la vidéo parce que le reste des concepts ne va pas vous convenir. Par contre, si vous voulez atteindre une indépendance financière ou avoir des revenus complémentaires dans assez peu de temps, il va falloir travailler plus au départ. Et après, c’est de l’entretien, il y a beaucoup moins de travail.
Aujourd’hui, j’ai quitté mon travail parce que l’immobilier génère suffisamment d’argent tous les mois et tous les ans pour survivre, je dirais même plus que survivre parce que c’est assez intéressant chaque mois et chaque année.
Le deuxième principe concerne l’éducation financière parce que vous êtes allés à l’école mais on ne vous a jamais donné le cours sur : « comment on gagne de l’argent avec l’immobilier ».
Ce cours-là vous ne l’avez pas eu. Si vous l’aviez eu et que vous aviez été assidus, vous ne seriez pas en train de regarder cette vidéo. Pourquoi ? Parce que l’école vous aurait donné les clés pour le faire. L’éducation nationale ne fait pas toujours les choses ni dans l’ordre ni dans le vrai intérêt des étudiants, c’est un avis personnel, ce qui est sûr c’est que le cours sur l’éducation financière n’existe pas. Sauf, si vous faites éventuellement des écoles de commerce mais ça ne va pas être exactement ce que vous pourriez avoir quand vous allez à des formations, à des séminaires consacrés justement au type d’investissement que vous voulez, là, en l’occurrence l’immobilier. Si vous voulez avoir une vraie éducation financière immobilière, vous n’avez aucun autre choix que de trouver des informations par vous-même. La bonne nouvelle, c’est qu’aujourd’hui en 2017, c’est quand même assez facile de trouver une bonne partie de vos réponses sur Internet principalement, via des livres, via des formations, via des séminaires.
Alors, comment moi j’ai fait. Au début où j’ai commencé, j’étais autodidacte. Ça marche au début mais ce n’est pas terrible parce que lorsqu’on est autodidacte, en réalité, on ne va pas très vite. On se croit plus malin que tout le monde, on pense qu’on va découvrir plein de choses, on pense qu’on n’a pas besoin d’aide, pas besoin de continuer à apprendre. On est parti de l’école, on ne veut plus apprendre. Finalement, c’est une erreur. En tout cas, je l’ai perçu comme une erreur parce que pendant quelques années, je n’ai pas vraiment avancé.
Alors, à un moment, j’ai commencé à lire des livres, j’ai commencé à me former réellement, avec des formations sur l’immobilier. Je suis allé à des séminaires, à des rencontres. Je me suis mis à dialoguer avec des personnes qui ont réussi dans l’immobilier. J’ai fait une vidéo sur les mentors, il n’y a pas très longtemps. Cela en fait partie, c’est-à-dire que vous devez faire vous-même votre éducation financière. N’essayez pas de créer vous-même parce que ça existe déjà. Tout n’existe pas de manière gratuite sur Internet, notamment les étapes, l’ordre dans lequel on doit faire les choses et les spécificités de chaque investissement. Il y a quand même des choses que vous n’allez pas trouver, d’où l’intérêt d’aller à des séminaires et de suivre des formations.
Robert Kiyosaki, dans ce chapitre porte une attention particulière sur les ACTIFS et les PASSIFS. Les actifs, c’est ce qui va générer de l’argent, qui va vous mettre de l’argent dans les poches. Les passifs, selon lui, c’est ce qui va vous sortir l’argent des poches. En gros, il y a des bons et des mauvais crédits. Il y a des bons et des mauvais choix.
Moi, quand j’ai commencé, je n’avais pas de passifs. Alors, c’était une très bonne chose pour commencer mais je n’avais pas d’actifs non plus. On va dire que j’étais assez neutre à ce niveau-là, l’équilibre était assez facile à faire, il y avait zéro d’un côté et zéro de l’autre. Donc, j’avais ni un avantage ni des contraintes pour commencer. Ce que j’ai fait, c’est que mes actifs, c’était l’immobilier, bien après bien, investissement après investissement, on apprend des choses bien qu’on duplique, d’autres qui n’ont pas fonctionnées où on trouve des solutions et on essaye d’éviter au maximum ce genre de situation.
Dans ce livre, Robert Kiyosaki accorde une grande importance à faire attention à une chose, c’est comme une alerte, c’est-à-dire que l’idée n’est pas de GAGNER BEAUCOUP. Gagner beaucoup, par exemple au travers d’un salaire ou dans une entreprise pas bien conçue, ça veut dire qu’on paye beaucoup d’impôts et de taxes. Or, le concept à prendre en considération, ce n’est pas de gagner beaucoup mais c’est de GARDER BEAUCOUP.
L’important, c’est ce que vous gardez à la fin du mois dans votre poche parce que si vous gagnez beaucoup et que vous en reversez beaucoup aux impôts, finalement vous avez gagné quoi ? Le salaire du départ moins les taxes que vous avez à payer. Et c’est uniquement ça que vous avez gagné. Faites bien attention à çà. Dans mon cas, ça se traduit comment ? Tout simplement, j’ai trouvé une solution pour ne pas payer d’impôt sur les loyers perçus de mes locations. Le chiffre est simple, c’est zéro. Je ne paye pas d’impôt depuis plusieurs années sur mes investissements immobiliers et je n’en paierai pas non plus en cas de plus-value. Comme ça, je mets les choses au clair. Avec les règles aujourd’hui et depuis assez longtemps, c’est ce qui va se passer et c’est ce qui se passe. Dans son livre, il explique en gros les trois catégories de personnes qui existent.
Les Pauvres :
Ils les appellent « les pauvres », mais ce n’est pas péjoratif c’est juste pour bien comprendre et bien classer les personnes. Les pauvres, ça va être finalement ceux qui sont dans « Rat Race », ceux qui ont du mal à mettre de l’argent de côté, qui n’y arrivent pas. Ça va être ceux qui dépensent plus que ce qu’ils ne gagnent, ce qui est une très, très grosse erreur. Honnêtement, impossible de s’enrichir si vous dépensez plus que ce que vous gagnez. Ça peut paraître d’une évidence énorme, mais croyez-moi, vous pouvez le penser, le savoir, peut-être que vous-même ou des gens que vous connaissez et qui connaissent ce principe se retrouvent quand même à zéro à la fin du mois ou en négatif. Donc, ce n’est pas parce qu’on sait des choses qu’on les applique. « Les pauvres » gèrent leur argent juste au quotidien. Ça va être combien pour acheter mes repas ? Combien j’ai pour payer mes impôts, pour faire telle ou telle activité ? En fait, ilsregardent avec le salaire et à partir du 15 du mois, ça commence à être un peu difficile. Au-delà du 25, ce n’est même plus la peine, on ne va plus faire les magasins puisqu’on n’a plus d’argent. Ça, c’est très embêtant mais c’est une catégorie que beaucoup de personnes connaissent. Finalement, ce n’est pas qu’elles se complaisent dans cette situation, mais elles pensent qu’il y a que ce type de situation qui existe, et qui est possible pour elles.
La Classe Moyenne :
Le problème de la classe moyenne, ceux qui sont toujours dans la « Rat Race » : il faut toujours travailler pour gagner de l’argent et dépenser, etc. Surtout, comme ces personnes-là gagnent plus que les autres, elles veulent un peu le montrer, s’offrir des choses un peu chères. Bref, elles vont avoir aussi tendance à dépenser plus que ce qu’elles gagnent. Ça va être, par exemple, des personnes qui vont acheter leur résidence principale, leur résidence secondaire, alors qu’elles ont un salaire, je précise, et qu’elles n’ont pas encore commencé à investir par exemple dans l’immobilier. Ça va être aussi des personnes qui vont aimer avoir de belles voitures, ou plusieurs voitures. Peut-être un côté un peu « bling-bling » en se disant : « je m’achète çà », et pouvoir briller à la machine à café le matin avec ses collègues. Je n’ai pas de jugement de valeur à porter, le problème est que l’on reste dans la « Rat Race ». On n’en sort pas, il n’y a pas d’issue possible. En plus, c’est encore pire que les pauvres parce qu’elles acquièrent des passifs qui les obligent à continuer de travailler, non pas pour les besoins du quotidien en nourriture et hébergement, mais en plus elles se sont endettées et elles ont des mauvais crédits. Je dirais que cette catégorie est pire que la première car si elles perdent leur salaire, leur job, elles sont vraiment en mauvaise situation. Entre les personnes qui sont vraiment juste salariées, qui n’ont pas grand-chose, ce qu’on mettrait dans la catégorie « pauvres », et ceux qui sont dans la classe moyenne, les personnes qui ont le plus à perdre sont ceux de la classe moyenne parce que ça va être vraiment dramatique. On entend souvent : « voilà, il a perdu son job, c’est la cata, il est ruiné ». Pourquoi ? Parce que pendant des mois, s’il n’a pas suffisamment d’argent, cette personne-là ne peut pas payer ses crédits, donc on va venir saisir. Il y a peut-être une hypothèque sur le bien ou sur sa maison, bref, on va pouvoir saisir aussi sa maison. C’est beaucoup plus compliqué. Alors que quelqu’un qui n’a rien, finalement, c’est très embêtant mais il n’a pas de dette supplémentaire, à part trouver de l’argent pour son hébergement et sa nourriture mais pas plus. Alors que celui qui est dans la classe moyenne, il a en plus de ces deux choses, l’obligation de rembourser les mauvais crédits qu’il a contractés dans le passé.
Les Riches :
Là, l’idée c’est de toujours, toujours acquérir des actifs. Les actifs, je vous le rappelle, c’est ce qui va mettre de l’argent dans votre poche. Pour reprendre les mots de Robert Kiyosaki, c’est « To put money in your pocket » c’est-à-dire mettre de l’argent dans votre poche. C’est ce que fait un actif. Et, je vais même aller plus loin, l’idée est d’acquérir des actifs productifs. Actifs, c’est quelque chose qui va générer des revenus passifs donc productifs. Encore une fois, dans mon exemple, c’est ce que j’ai fait. J’ai acquis plusieurs biens, je continue d’acquérir des biens.
Du travail au départ, financement par la banque, rénovation et mise en location, ce qui génère des revenus supplémentaires supérieurs au remboursement des travaux et du crédit immobilier, des taxes foncières et des charges de copropriété. Quand vous avez ça, vous le multipliez le plus possible. Plus vous le multipliez et plus c’est intéressant pour deux choses. La première, vous avez plus d’argent tous les mois et la deuxième, votre patrimoine augmente. Au départ, c’est beaucoup à la banque et plus le temps passe, plus ça devient à vous par le phénomène du remboursement du crédit immobilier.
Le troisième principe que Robert Kiyosaki donne dans son livre, c’est de prendre le contrôle de vos affaires.
Prendre le contrôle de votre business. Quand vous avez plusieurs actifs, il faut s’en occuper. Il ne faut pas forcément tout connaître mais en tout cas, s’assurer que les choses fonctionnent. Ce n’est pas parce que vous avez lancé quelque chose qu’il ne faut plus s’en occuper. On lance quelque chose, on le laisse fonctionner, on passe à autre chose mais on garde un œil dessus. De temps en temps, il faut aussi refaire un point sur une situation. Dans mon cas, c’est un appartement. Régulièrement, je refais des points sur les appartements que j’ai. Ce n’est pas forcément des points écrits mais ce sont des réflexions. Ça peut être de regarder un peu les comptes, savoir lesquels me rapportent le plus ou le moins. Ce que j’ai besoin d’arbitrer, c’est-à-dire,est-ce que j’ai besoin d’en vendre un ? S’il y a une affaire qui m’intéresse, j’ai besoin de savoir si je dois en vendre un pour l’acquérir, si les locataires sont corrects, s’ils sont contents, et vérifier en permanence que les paiements arrivent bien sur les comptes. Il y a quand même des actions et des contrôles à faire régulièrement même si les choses sont pour la plupart automatisées. En tout cas, il faut garder le contrôle. C’est-à-dire qu’une fois que vous avez lancé quelque chose, vous contrôlez en permanence même si une bonne partie est déléguée. Vous renvoyez des mails aux personnes qui gèrent pour vous, par exemple. Moi, dans mon cas, ça va être avec le comptable. Je vais renvoyer des questions de temps en temps, je vais refaire le point sur ma situation, sur ce que je veux faire dans le futur, est-ce qu’il y a des choses particulières à faire ? Par exemple, je suis en acquisition, c’est de discuter pas mal avec ma courtière, discuter aussi avec ma notaire parce que eux me connaissent et savent exactement où je veux aller. Et du coup, il y a besoin de temps en temps de refaire des points sur les choses. En tout cas, vous devez contrôler toute la chaîne du début jusqu’à la fin.
Le quatrième point que Robert Kiyosaki aborde dans son livre, c’est les entreprises et surtout les taxes.
En gros, il y a deux choses qu’il faut savoir. La première, c’est comment sont taxés les particuliers et la deuxième, c’est comment sont taxées les entreprises.
Pour un particulier, vous le savez mais je vous le rappelle, en trois points. Premièrement, il a son revenu, son salaire. Deuxièmement, il a ses dépenses mensuelles. Troisièmement, il y a les impôts qui sont pris sur le salaire du début. Si vous vous retrouver à la fin du mois avec zéro parce que vos dépenses courantes sont l’équivalent de votre salaire, vous allez vous retrouver avec un problème, celui des impôts parce que vous n’avez pas pu économiser. Peut-être que vous pouvez économiser. Auquel cas, c’est déjà une très bonne chose mais vous restez dans la fiscalité des particuliers.
D’un autre côté, vous avez la fiscalité des entreprises et c’est là que ça devient très, très intéressant. C’est qu’une entreprise est taxée d’une manière différente. Lorsque vous êtes entrepreneur, lorsque vous avez une entreprise ou lorsque l’entité « entreprise » génère du chiffre d’affaires (on va plutôt parler de chiffre d’affaires, l’argent qui est gagné).
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On gagne du chiffre d’affaires.
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On dépense ce qui est nécessaire et aussi ce qui peut nous faire plaisir.
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On a des impôts. Mais les impôts ne sont pas sur le chiffre d’affaires mais calculés sur ce qui reste et ça, ça change tout.
Pourquoi ?
Parce que l’objectif si vous ne voulez pas payer beaucoup d’impôts, c’est tout simplement d’avoir un résultat qui est proche de zéro, le plus possible.
À partir du moment où vous faites ça, ça fonctionne. Et il y a des éléments dans les entreprises qui favorisent ce genre de choses, notamment les charges et les amortissements (…)
Sébastien D
Vous avez éludé la partie la plus intéressante a savoir comment gérer la fiscalité de la société a créer en France ….